Quand la réduction volontaire d’activité est source de création de valeur pour les entreprises

Nous ne résoudrons pas la crise écologique et sociale en maintenant toutes les activités économiques à leur niveau actuel. Il va falloir réduire la voilure. Entre « business as usal » et mort programmée d’entreprises et destruction d’emplois, une troisième voie est-elle possible ?

À 12 jours de la COP 26 de Glasgow et à 6 mois des élections présidentielles, les enjeux environnementaux et sociaux n’ont jamais été aussi présents dans le débat public. Mais l’inertie de notre système économique nous rend incapable d’y répondre avec l’efficacité, l’ampleur et la rapidité nécessaires au vu de l’urgence. Car, ne nous y trompons pas, ce ne sont pas les gestes individuels, les demi-mesures ou la fuite technologique en avant qui nous permettrons de rester en dessous des limites planétaires, mais bien une transformation radicale de notre économie et donc des organisations qui la composent.

Durant la session 2 de la Convention des Entreprises pour le Climat (CEC), Christophe SEMPELS, Directeur Général et de la Recherche-Action de LUMIÅ, a proposé une méthode claire pour repenser nos modèles économiques conventionnels pour une évolution vers des modèles économiques dynamiques multi-parties prenantes visant des impacts positifs.

Voici le contenu de son intervention dans notre article qui détaille la méthode via l’exemple concret d’un fabricant de poids lourds. La question générative posée est la suivante : Comment un fabricant de poids lourds peut-il accompagner la baisse de camions sur les routes et la réduction du nombre kilomètres qu’ils parcourent ?

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